Au commencement… Il n’y avait rien. Rien d’autre que le néant. Le noir, le silence, et la solitude. Une solitude si grande qu’elle pouvait presque remplir ce grand Rien. Il n’y a que moi, recroquevillé au milieu de ce vide infini. J’ai peur. J’ai froid. J’ai faim. Mais rien ne peut me soulager, je suis enfermé dans mon corps, ce corps ignoble,
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